Liste des chercheurs IA connus découvrant l’IA française raisonnante et refusant d’en parler

Le premier de ces informaticiens, Dean Horak, est à mes yeux le plus important de tous : c’est un chercheur en IA américain dont j’ai j’ai fait la connaissance sur LinkedIn en 2013. Il est intelligent, honnête, courageux et plein de personnalité. Pendant des mois, sans réagir, il m’a entendu discourir et discuter d’IA avec les autres membres du groupe IA de LinkedIn, affirmer qu’il n’y a qu’une intelligence artificielle, celle qui sait raisonner. Jusqu’au jour où il a pris sa plume et m’a posé des questions. Nous nous sommes mis alors à discuter. Comme il doutait de la véracité de mes propos et de la faisabilité d’une IA aussi étonnante que celle que je décrivais, je lui ai proposé une démonstration par Skype. Vous allez voir ci-dessous le rapport qu’il a écrit sur LinkedIn pour ses collègues chercheurs.

Parmi les chercheurs et les concours IA qui suivent et outre Dean Horak, seul Sandy Veres a demandé une démonstration. Personne d’autre n’a jamais demandé à voir cette preuve que je n’affabulais pas en disant qu’une intelligence artificielle accessible à tous existe depuis 1986.  Même pas les jurys de concours, de capital risque ou d’investisseurs à qui je transmets des business plans ou des descriptifs techniques a priori extraordinaires. Les informaticiens composant ces jurys pour les projets informatiques ne veulent surtout pas savoir.

Cette volontaire cécité existe aussi dans le cadre de concours à l’innovation en informatique (Atlanticiels)  ou en intelligence artificielle (AAAI Feigenbaum Prize, appel à publications IA)

1. Dean Horak

« Jean-Philippe has created a very nice, easy to use and fairly extensive expert system. » (septembre 2013) – Cet homme est un vrai chercheur en IA, intelligent et honnête, vous en conviendrez… Mais, vous allez voir, dans les limites de sa survie ! J’ai fait sa connaissance sur LinkedIn en 2013. Pour convaincre un récalcitrant qui niait la présence de logique dans l’intelligence, il nous a présenté deux pages de définitions de l’IA prises sur le web, toutes contenant le mot « raisonnement « ou « logique ». Un travail d’orfèvre.

Il a voulu toucher des yeux mon IA et je lui ai fait une démonstration par Skype. Voilà son rapport, transmis à l’ensemble de la communauté IA sur Skype :

« OK folks,

Jean-Philippe and I spent the morning (his afternoon) demoing his system. I promised him I would report back to the group my impressions, so here they are (Jean-Philippe, feel free to correct me if I got any of the details wrong). 

Jean-Philippe has created a very nice, easy to use and fairly extensive expert system. It seems to contain all the niceties you might need in such as system such as database connectors, web connectors, file I/O, automatic form generation, automatic generation of conversational style interaction, etc. Essentially everything you might see in an IDE for a conventional programming language. However, instead of building programs directly using a programming language, programs are built using a graphical decision tree architecture. 

The graphical interface generates what appears to be a comprehensive logic programming language, reminiscent of Prolog. Assuming the language is « Turing complete » (and I have no reason to doubt this), Jean-Philippe’s claim that his system can produce any program that can be produced using other « programming languages » without requiring any programming knowledge is technically valid, though I would expect that the resulting application would likely be much less efficient and unwieldy than the same application developed in a more concise language such as C or C++. 

Given it’s apparent roots in Prolog, it fully supports deductive reasoning. This system also includes a nice built-in feature that presents a description of how the result was derived, which I envision to be a great aid in debugging and verification of the application. 

My overall impression is that this system, within certain domains, is a viable option. For instance, coupled with a VRU (voice response unit), the system would allow for the easy development of interactive voice response systems for customer support, vmail systems, menu systems, etc. It seems to be a good fit for diagnostic applications such as those that might be used by a technicians in diagnosing equipment. In other words, any domain where an expert-system might be a good fit. 

The main take-away point from the demo is that this system looks to be a real, production quality product, useful within certain application domains such as described above. On the other hand, I would not want to try and attempt to create a self-driving car using it, though, as I noted before, being « Turning complete », it should technically certainly be possible. 

The other take-away point is that unlike the hyped-up claims of some on these forums (who’s name I will not mention), this system delivers what the author claims (though my definition of what AI is fundamentally differs from Jean-Philippe’s definition). 

I wish Jean-Philippe luck in marketing his product which he has very obviously invested a great deal of effort into and I encourage anyone who is looking to develop an expert-system style application for which this would be a good fit, to contact him for a demo as well. 

Finally, we were able to overcome our French/English language gap fairly well, though I will quickly admit that Jean-Philippe’s English is far, far better than my French 🙂 

Au revoir. »

Pour la traduction, voyez Google translate

Cette analyse fut donc flatteuse et sympathique. Hélas, incroyable mais vrai, aucun membre de la communauté IA de LinkedIn n’a réagi à son analyse ! Cet homme a bien voulu parler de mon IA et c’est le seul. Je l’en remercie. Cependant… quelques années plus tard je le surprends à clamer au sein de la même communauté que l’IA n’existe pas alors qu’il reconnaissait auparavant l’avoir touchée chez moi. Je lui rappelle donc son test par Skype. Il ne s’en souvient pas ! Je lui adresse alors la copie de son analyse. Il devient furieux et refuse  de discuter avec moi davantage. Incompréhensible ! C’est à croire que tous les informaticiens sont fous…

En 2019, je le reprends à parler d’IA sur LinkedIn : « my goal when I started out was to build a system artificial intelligence equal to humans, so my pursuit continues ». Je lui rappelle alors qu’en 2013 il déclarait avoir trouvé une vraie IA chez moi et qu’il peut cesser ses recherches… Voilà sa réponse :

« Yes. Jean-Philippe. I think I stated my views on your system. I still disagree that what you have developed truly falls under the definition of AI (which requires self-learning at a minimum), and certainly not AGI which is the flavor of AI I’m really interested in. (…) Nonetheless, good to hear from you again. »

Je lui rétorque alors que mon IA fait du self learning (la Maïeutique), qu’à l’époque il l’avait bien vu et n’avait émis aucune critique. Pas de réponse… Il faut que je le relance. Je lui dis que je m’étonne de constater que lui aussi, comme tous les chercheurs IA,  préfère abandonner la discussion que de convenir que mon IA est une solution extrêmement efficace qui rend les recherches informaticiennes actuelles obsolètes. Il me répond alors : « I will just refer you to Galileo’s Gambit. « It is not enough to wear the mantle of Galileo: that you be persecuted by an unkind establishment. You must also be right. » – Robert Park. »  Finie la discussion sur l’IA, on est repassé dans l’ad hominem… Soft mais ad hominem.

2. Sandy Veres

Sandy Veres est un chercheur anglais de l’université de Southampton. Son labo Sysbrain est baptisé : « IA, intelligent systems, natural language programming »

  • 4 avril 2012 : je lui adresse un mail pour lui dire que mon IA permet la programmation en langage naturel, son domaine de recherche, puis je le relance par Skype. Il me répond : “I am just reading this while driving… Most interested. » et s’engage à me faire de la pub si ma techno marche réellement ! Je me prends à rêver, comme un écolier.
  • 5 avril : je lui fais 1h25 de démonstration par Skype, répondant à toutes ses questions. Il s’exclame : « Mais c’est tout à fait industriel ! » et ne parle plus de faire la promotion de cette découverte… Il dit qu’il va réfléchir. Puis, silence…
  • Le 1er mai, je le le relance : « It’s over, Sandy? I feel our relationship is disappearing …”. Veres s’excuse en m’apprenant que son père, 89 ans, est en phase terminale. Il conclut cependant : “I am very interested in your approach, was just thinking about it 15mins ago…” Et il ajoute qu’il me rappellera.

Mais il ne rappelle pas. Alors je le relance par Skype le 24 mai 2012, le 30 juin et le 18 juillet. Silence… Alors, je laisse tomber.

2. Serge Boisse

Le 16/12/2011 j’écris à Serge Boisse, professeur à l’ENAC de Toulouse et auteur d’un livre monumental sur l’IA, qu’il a oublié de parler de l’IA raisonnante, une invention française qui a donné l’interface vocale intelligente Tiara que j’ai développée. Nous échangeons à ce sujet puis il finit par me dire : « Quant à Tiara je t’ai déjà dis ce que j’en pense : c’est un beau, peut-être même très beau programme d’IA mais ce n’est pas « une IA générale ». Peut-être la sous-estimais-je ? Mais tu ne peux m’en vouloir pour ça. Après tout, tout ce que j’ai pu lire sur Tiara a été écrit par toi, ou par des gens qui ne savent même pas ce qu’est un moteur en chainage avant d’ordre zéro-plus ! J’attends simplement de lire une critique externe et objective de ce système par un utilisateur connaissant bien l’IA. Alors je réviserai mon opinion. »

Il a donc une opinion arrêtée sur une IA qu’il n’a jamais testée ! Pas très scientifique, tout ça. Je lui réponds donc, il est vrai assez vertement. Mais il m’a fait une petite vacherie par le passé qui m’a montré  que l’honnêteté n’est pas sa vertu première : « Toi qui te présentes en expert ès Intelligence Artificielle et comme l’apôtre de la singularité en IA, tu avoues crânement préférer attendre que QUELQU’UN D’AUTRE te donne son avis sur une singularité en IA au lieu de la tester toi-même ? C’est délirant. Comment veux-tu être crédible pour animer un institut de recherche en IA avec aussi peu de curiosité scientifique ? Tu viens d’avouer que tu as écrit un énorme bouquin sur l’IA sans jamais tester LA SEULE IA qui fonctionne en entreprises – et en France qui plus est – depuis 1986, une IA dont des centaines d’articles ont parlé ? »

Vexé, il me répond : « Jean-philippe, je te respecte alors fais-en autant. Insulter quelqu’un n’a jamais fait avancer un débat, cela ne fait que fermer des portes. Contrairement à ce que tu sembles croire je ne m’intéresse pas qu’à moi et je m’intéressais sincèrement à ce que tu faisais, ce n’est plus le cas maintenant au vu de ces propos qui dépassent les bornes de la politesse »

Donc, pour lui c’est l’insulter que lui reprocher de ne pas faire lui-même le test d’une innovation dans son domaine de compétence. Du coup, il n’est plus intéressé par ma techno… qu’il ne voulait pas tester !  C’est bien commode.  Les 28 janvier, 2 mars, 28 mars, 28 avril 2012, je le relance sur son site. Aucune réponse. Il abandonne…

3. Mike Daconta

C’est un expert US connu en “machine learning”.  Le 30 mars 2012 je lui adresse un mail qui lui présente mon IA raisonnante, capable d’extraire la connaissance inconsciente en langage naturel et de la transformer immédiatement en programmes sous forme système experts. Le top du machine learning, quoi… Il me répond : “Do you have a demo of your technology? As you know I am a supporter and developer of semantic techniques and thus I am always interested in good semantic technology.“ Je lui propose une démo par Skype. “please send me the Web link so I can look at an example before I decide to go to the next step and discuss it via skype.” Je lui adresse donc des captures d’écran montrant le fonctionnement de mon IA, des arbres de décision jusqu’au dialogue du système expert. Pas de réponse de sa part.

Le 11 avril, je le  relance : « Mike, it’s over? Not interested anymore? » Il répond qu’il est intéressé mais sceptique, qu’il a peu de temps, qu’il va réfléchir » Je remarque qu’il n’est plus question de démonstration….  Puis, silence.

Le 18 avril, je le relance : « Mike, I am very disappointed at your silence. It can only mean one thing: you do not care research about programming without computer language. Publicly, you claim to be interested in but once you find a search that succeeded, you disappear like a ghost. In fact, you are like the French computer scientists : no question of promoting the innovation in AI. And too bad for millions of users who will continue to wait. Too bad for progress in computer science and robotics, which will have to wait. Bye Jean-Philippe de Lespinay »

Daconta n’essaie même pas de se défendre. Il reste muet.

4. Gregory Renard français fondateur de X Brain, une société US spécialisée en IA

  • 19 sept : [19/09/2012 11:28:02] Conversation téléphonique entre Gregory Renard et moi. Durée 13:03.
  • 21 sept ([21/09/2012 08:45:14] (durée 40:59) : je lui présente T.Rex par Skype, Renard dit qu’il me rappelle le lendemain. Il ne le fait pas.
  • 24 sept : [24/09/2012 18:19:16] 1ère relance (par Skype) : “Gregory, mon intuition me dit que vous n’allez pas donner suite… Je me trompe ?” – [24/09/2012 18:22:16] Gregory Renard: “Bonjour Jean-Philippe, non, pas forcément, juste que mon agenda est très chargé avec des deadlines courtes, je reviens vers vous dès que j’ai plus de bande passante”. Et puis… silence.
  • 8 oct : [08/10/2012 06:02:02] 2ème relance par Skype le voyant connecté : “Alors ? C’est fini entre nous ?” – [08/10/2012 06:03:34] Gregory Renard: “non, non, je suis juste sur de nombreux chantiers qui me prennent beaucoup de temps.”
  • 23 oct : [23/10/2012 11:04:57] 3ème relance : “Alors Greg, vous en êtes où avec moi ?” Pas de réponse.
  • 13 décembre : [13/12/2012 08:15:52] 4ème relance, je m’agace : “Vous voyez, Gregory, comme je vous l’avais dit, vous avez laissé tomber… Vous n’avez jamais repris contact. C’est incroyable comme les informaticiens ne sont pas intéressés par le progrès en informatique… surtout s’il offre à chaque utilisateur de PC la chance de pouvoir programmer comme eux. …et vous ne vous donnez même plus la peine de me répondre.” Pas de réponse.
  • 9 mars 2013, 5ème relance par Skype : “Alors Gregory ? Pouvez-vous maintenant m’expliquer votre long silence ?” Gregory Renard: “Bonjour Jean Philippe, oui j ai déménagé aux USA”. Je lui réponds : “et donc vous ne voyez plus d’intérêt à ma technologie ?” Silence…
  • 11 mars, 6ème relance : “Une réponse svp… Please…” Rien.

Conclusion : pendant 6 mois Renard a réussi à ne jamais donner son avis sur ma techno tout en se déclarant intéressé !

6. Louis Naugès

Informaticien connu et chevronné, il écrit beaucoup, a fondé des associations d’informaticiens et se prétend spécialiste de l’innovation en informatique et donc compétent en IA. Il a écrit un article dans son blog intitulé : « Trois niveaux d’intelligence artificielle : trois challenges majeurs pour l’humanité » dans lequel je remarque qu’il n’a rien compris à la question et brode sur ses lectures toutes inspirées de chercheurs IA. On est encore face à un Français qui fait sa pub, faisant l’apologie sans discernement de la fausse IA américaine et qui n’a jamais trouvé sur le net les nombreuses références sur une IA français qui marche, l’intelligence artificielle raisonnante. Je lui rédige donc un commentaire sur l’IA raisonnante, lui parlant du prix qu’elle a obtenue aux US en 2017. Voilà sa réponse :

Cher Monsieur De l’Espinay

Je ne connaissais pas Jean-Louis Laurière, et ne pense pas être le seul. Il est mort en 2005, et beaucoup de choses depuis cette date en IA et Machine Learning. Vous écrivez vous même dans votre blog que son « invention » Pandora, ne fonctionnait pas. Vous êtes par contre beaucoup plus positif sur vos propres réalisations en systèmes experts.

https://jpdelespinay.wordpress.com/category/abus-de-pouvoir/

Vos frustrations, votre mépris de la profession d’informaticien qui explose dans votre texte m’ont fait de la peine. J’ai rarement lu un texte qui illustre autant les plaintes du « génie méconnu » parlant de tout ceux qui ont refusé de voir l’extraordinaire valeur de vos travaux. Vous attaquez aussi bien sur les GAFA et leur incapacité à faire de l’IA.

Je vous cite quand vous parlez de l’IA : « Et n’oubliez pas qu’il en existe une, en France et rien qu’en France : la mienne… »

Quelle belle modestie !

En effet, il n’existe qu’une IA raisonnante, la mienne.  Et il ment quand il prétend que j’ai dit que Pandora ne fonctionnait pas. J’ai développé avec cet outil plusieurs systèmes-experts pour de gros clients entre 1986 et 1988, cités dans la presse. Pour la modestie, je l’ai déjà dit : je n’ai aucun défaut sauf un, je ne suis pas modeste.

Pour le reste, le lien qu’il cite n’a rien à voir avec notre discussion, et ses commentaires ne sont certainement pas ceux d’un homme honnête cherchant à en apprendre davantage. Je lui réponds en démontant ses « arguments » un à un. Trop bien probablement car cet homme honnête réagit… en supprimant ma réponse pour que le débat reste clôt sur la sienne. Alors, un de mes amis lui écrit : « M. Naugès, quand allez-vous enfin afficher la réponse de M. de Lespinay à votre dernier commentaire ? Ce que vous faites-là est incorrect. Vous donnez l’impression qu’il n’a rien trouvé à répondre et que vous aviez raison. A moi en tout cas cela démontre que vous savez que ses arguments sont valables mais que vous voulez le dissimuler à vos lecteurs. 

Pour vous paraphraser : quelle belle honnêteté ! » (08.01.2019)

Ce message est resté (voir tout en bas) ! Peut-être M. Naugès a-t-il perdu ma réponse ? Alors il ne peut la remettre dans la discussion comme on le lui demande ?

7. Luc Julia 

C’est une pointure en informatique, le Français qui a co-développé la fameuse reconnaissance vocale SIRI. « L’IA reste le fil conducteur de toute sa carrière. » Oui, mais quelle IA ? Il vient de publier un livre qui a fait beaucoup réagir : « l’intelligence artificielle n’existe pas ». Je suis tout à fait d’accord avec lui puisque l’IA des journaux c’est de l’informatique classique incapable de fonctionner sans informaticien. Mais de là à nier l’existence de toute une filière de l’IA franco-française qui a abouti dès les années 1980 à une technologie opérationnelle installée dans les entreprises par la suite, je ne pouvais pas laisser passer.  Le 2 février 2019 je lui adresse un long mail décrivant mon IA raisonnante et lui demandant « accepteriez-vous de faire connaitre cette IA bien française, car cartésienne ? Ou mieux : nous pourrions concevoir ensemble une nouvelle informatique ? »

  • Voilà sa réponse le même jour : « J’ai lu. Bravo. Bonne chance pour la suite, Luc. »
  • Déçu, je réponds : « Merci de votre réponse rapide mais n’avez-vous pas le sentiment que vous vous moquez un peu de moi ?  Vous dites avoir lu mais vous ne donnez pas votre sentiment sur mon IA alors que le sujet est votre spécialité et le « Bonne chance pour la suite » montre que vous ne souhaitez visiblement pas que cette technologie soit offerte au public. Par votre propre société Samsung par exemple… »
  • Comme il ne réagit pas, je le brutalise un peu : « Pas de réponse… Vous êtes comme les autres. Vous parlez d’IA sans savoir et en ne voulant surtout pas savoir. Comme les autres, vous pratiquez la désinformation en matière d’informatique auprès du public et de votre propre société ! »
  • Luc Julia : « C’est bien, vous pouvez être fier de vous et de ce que vous répandez. La colère permanente n’est pas mon moteur. Bonne continuation et surtout, encore, bonne chance. »
  • Moi-même : Si la colère permanente n’est pas votre moteur, chez moi c’est l’hypocrisie et le refus de l’intérêt général qui n’est pas mon moteur. Vous noterez que vous échangez avec moi en vous gardant bien de parler de cette IA que vous prétendez si bien connaître, et encore moins en proposant de faire connaitre l’IA raisonnante, d’où ma « colère permanente ». Pouvez-vous vous regarder en face après ça ?
  • Luc Julia : « Oui »
  • Lol. Donc vous n’avez pas d’amour-propre… Et, quoiqu’auteur de thèses sur l’informatique, vous n’avez pas d’utilité pour la société…
  • Luc Julia : « Dommage pour moi. »

Vous le voyez, contrairement aux autres, cet informaticien ne refuse pas le dialogue et est même doté d’un certain sens de l’humour… Mais le résultat est le même : lui non plus refuse de faire connaitre l’IA qui marche, française ou non, celle que le public attend.

8. A en entendre leurs collègues universitaires, les plus « grands » chercheurs IA Français des années 1980 à 2010 furent Jacques PitratJean-Paul Haton et, à un degré moindre, Jean-Paul Delahaye. Pour moi c’est Jean-Louis Laurière (qui, lui  a tout récemment eu le droit à une page dans Wikipédia, probablement suite à mon insistance à voir en lieu un génie). Tous ont obligatoirement entendu parler de Jean-Philippe de Lespinay par la presse mais aucun n’a tenté de me contacter. Par contre, moi je m’y suis attelé. Voilà le compte rendu.

9. Jean-Louis Laurière n’avait pas du tout envie de me rencontrer, ce qui prouve qu’il avait entendu parler de moi. Lors d’un congrès sur l’IA, il y a cependant été obligé par mon insistance. D’abord très désagréable, il s’est ensuite détendu quand je l’ai félicité sincèrement sur son invention Pandora qui m’avait permis d’inventer moi-même la Maïeutique. Il maintient cependant que Pandora n’a aucun intérêt et que seules ses recherches sur des logiques « supérieures » (au syllogisme) en ont. Je lui explique qu’à mes yeux celles-ci ne mèneraient nulle part car, fonctionnant sur des faits variables (des faits changeant d’état des milliers de fois au cours d’un raisonnement),  elles sont incapables d’expliquer leur raisonnement et de détecter des contractions comme sait le faire Pandora grâce au syllogisme. Deux facultés nécessaires à la validation de la connaissance et des déductions (ce que son collègue Jacques Pitrat n’a cessé de lui répéter en constatant ses vains efforts). Entendant mes arguments et mon enthousiasme juvénile pour son Pandora, il propose finalement en souriant que nous nous quittions bons amis en convenant que les deux voies ont de l’intérêt… Diplomate (pour une fois…) j’accepte le deal. On est tous les deux de mauvaise foi.

Il est mort sans avoir rien produit d’utile. A part Pandora (j’en profite, il ne peut plus répondre).

Pandora, une invention dont bien entendu la page Wikipédia de Jean-Louis Laurière, écrite par ses élèves universitaires, ne parle pas… Le public ne doit pas savoir qu’est née en 1982 une IA faite pour lui…

10. Odile Paliès est une élève de Laurière et la co-développeuse de Pandora. Elle m’a vivement critiqué auprès de Science et Vie dans deux lettres lettres fameuses émanant officiellement de deux laboratoires de recherche IA  parisiens. Elle réclamait que cette revue publie son « droit de réponse » qui n’en était pas un, répétant sans cesse que « Pandora » ne valait rien. Sans s’en rendre compte, du coup elle authentifiait l’existence de cette découverte qu’elle voulait jeter aux oubliettes. Vous pouvez lire une de ses lettres ici (chap III). Une façon comme une autre pour un universitaire comme elle de se faire de la pub gratos en passant par la revue scientifique la plus lue d’Europe. Hélas pour elle, Science et Vie n’est pas tombé dans le piège et ne lui a pas répondu.

11. Jean-Paul Delaunay

Voilà ce que j’écris à Jean-Paul Delaunay,  une grosse pointure en IA à écouter Jean-Christophe Benoist, un de ces universitaires informaticiens acharnés à supprimer toute mention de mon nom et de mon IA dans Wikipédia : « Bien que paranoïaque, j’ai suivi votre suggestion et j’ai contacté Jean-Paul Delahaye. Ce chercheur universitaire ne me connaissait pas (bien qu’on se soit côtoyés bien des fois, que nous travaillions pendant plus de dix ans dans le même domaine et en dépit des centaines d’articles parus dans la presse sur mon IA qui auraient du l’intriguer). Voilà sa réponse : « Non, désolé, je ne regarderai pas vos découvertes. Je ne peux donner aucun avis sur votre techno IA car cela fait longtemps que je ne travaille plus dans le domaine des systèmes-experts ! » On est loin de votre affirmation, Jean-Christophe : « ce genre de techno fait l’objet régulièrement de ses rubriques dans « Pour la Science », ou dans ses livres ». Alors ? Expliquez-moi cette contradiction… »

La discussion a été effacée de Wikipedia…

12. Jacques Pitrat 

Jacques Pitrat est « un des plus grands chercheur IA Français » selon les universitaires, collègue de Laurière à l’université Paris 6. En fait, il a beaucoup cherché, beaucoup publié (surtout sur l’IA appliquée aux échecs) et rien trouvé. Même pas un programme de jeux d’échecs comme il y en a des milliers sur le marché.  Poursuivant mon compte-rendu à JC Benoist de Wikipedia, je lui parle de ma tentative de présenter mon IA à ce chercheur en 2012 :

« j’ai également rendu visite à Jacques Pitrat chez lui cet été en août. Lui, il a sa page dans Wikipédia sans avoir jamais rien produit d’opérationnel en IA (mais c’est un chercheur universitaire 😉 ). J’étais venu avec un ordinateur portable. Il a parfaitement admis que ma techno IA tourne mais il n’a rien voulu voir ! Il a bien voulu parler de Laurière, il convenait qu’après Pandora Laurière s’était engagé dans des culs-de-sac avec ses langages à variables, mais il a refusé de donner le moindre avis sur ma techno car son domaine n’a jamais été les systèmes-experts ! Toujours les même symptômes, Jean-Christophe : refus d’aider le chercheur privé, pas de curiosité, pas de recherche ayant abouti mais… sa page dans Wikipédia ! ».

13. Liste des spécialistes, concours et entreprises IA qui ont refusé de me répondre

  1. L’AAAI Feigenbaum Prize 2013. Je me suis présenté avec beaucoup d’espoir à ce prix américain destiné à récompenser une innovation technologique en intelligence artificielle. En effet, Edward Feigenbaum est le chantre du raisonnement en intelligence artificielle, ma spécialité. Il a collaboré en 1974 à la réalisation du système expert Mycin fonctionnant par un raisonnement, hélas entaché par des calculs statistiques donc sans lendemain. J’ai énormément travaillé pour présenter ma candidature dans un dossier volumineux où mon intelligence artificielle est décrite dans le détail : « La Maieutique« , accompagné même de sept témoignages d’experts. J’ai beaucoup discuté avec le secrétariat de ce concours, m’étonnant de ne pas avoir d’accusé de réception, puis aucune nouvelle sur l’avancement du travail du jury, donc rien n’établissant que j’ai adressé ma candidature au AAAI Feigenbaum Prize. La secrétaire m’assure que ma candidature est bien prise en compte mais ne peut me l’écrire. Finalement, bien que la clôture des candidatures soit en juin 2013 elle m’informe deux mois avant que le prix est finalement attribué… à IBM, sponsor du prix ! Lequel n’a jamais développé la moindre IA fonctionnant par le raisonnement, ni même la moindre intelligence artificielle tout court, même s’il prétend le contraire (Deep Blue). Je ne recevrai aucun courrier de cette organisation, même pour m’informer de mon échec ou pour me remercier d’avoir présenté ma candidature ! Comme d’habitude de la part des « chercheurs » en IA de tous les pays, mon nom et mon IA doivent demeurer dans l’obscurité. Le public ne doit pas savoir que l’informatique est une tromperie totalement dépassée, l’ordinateur dotée d’une intelligence artificielle programmant beaucoup mieux et plus vite qu’une horde d’informaticiens.
  2. Science et Vie (alors que j’ai écrit pour eux un article sur l’IA en 2011 dont ils furent très satisfaits au point de me demander de rédiger pour eux d’autres articles « sur n’importe quel sujet » (sauf les extraterrestres et les soucoupes volantes, sujet sur lequel j’étais pourtant très bien documenté !)
  3. Computerfutures
  4. iRobot
  5. Les Echos, qui ont pourtant amplement parlé de mon IA depuis 1986 et multiplient les articles sur la question, refusent mes contributions sans un mot d’explication
  6. Zéro contribution dans les Echos (01.08.2019)
  7. XPrize foundation
  8. Joseph Sifakis (Prix Turing d’informatique) avouait en 2005 « Nous sommes toujours à la recherche d’une théorie générale de construction des logiciels. L’informatique n’a pas, pour l’heure, ce caractère constructible et prédictible des objets physiques ». Je lui fais savoir que la Maïeutique et l’IA raisonnante existent depuis 1986 et qu’une centaine d’articles en ont parlé dans la presse nationale. Pas de réponse.
  9. Standish Group qui dévoile chaque année l’inefficacité des méthodes de programmation dans son Chaos Report
  10. Anthony G Cohn « prof en raisonnement automatisé »
  11.  Cédric Villani ! Chargé de financer la filière française IA, il convient lors d’un entretien téléphonique avec moi en 2018 que mon IA est la seule vraie à sa connaissance. Puis il m’avoue qu’il ne s’y intéressera pas.
  12. Jean-Michel Dalle, Agoranov, « incubateur d’entreprises innovantes »‘
  13. Marjolaine Grondin, qui commercialise un « assistant conçu avec un programme d’intelligence artificielle » et a levé 1 million d’Euros en 2016
  14. Robin Li : « en janvier 2017, Baidu a nommé Qi Lu, l’ancien vice-président de Microsoft, en tant que président du groupe et directeur opérationnel, qui sera chargé du développement de l’intelligence artificielle »
  15. Elon Musk, qui vient de fonder Open Ai pour protéger l’humanité des danger de l’IA  (!). Je reçois une réponse polie de son staff : « on garde ça sous le coude ». C’était en 2017…
  16. Daniel Shapiro, patron de Lemay.ai « déploiement rapide de l’IA »
  17. Pascal de Lima, qui écrit beaucoup sur l’IA sans avoir jamais produit un système expert me déclare : « vous avez une vision exclusive de l’intelligence artificielle qui est celle de l’ingénieur » puis clôt la discussion.
  18. Gaël Duval fondateur de « La French Touch Conference, dont l’objectif est de faire le pont entre les écosystèmes entrepreneuriaux français et ​ceux du reste du monde afin de mettre en avant les réussites françaises à l’international et favoriser leur développement » ne répond pas…
    En savoir plus sur https://viuz.com/2016/06/27/interview-de-gael-duval-fondateur-de-la-french-touch-et-jechange-fr/#JgkxU2DQY1wFHtpC.99
  19. De nombreux médias parlant d’IA à qui j’adresse des rectificatifs (Le Monde, Industries et Technologies, l’ADN, PWC, etc.)
  20. Actuia : « Le portail de l’intelligence artificielle et des startups IA » est sûrement un repaire d’universitaires sans foi ni loi qui n’ont surtout pas envie de connaitre une intelligence artificielle moderne.  En effet, je leur ai écrit deux fois en 2019 (à l’adresse contact@actuia.com donnée sur leur site) pour m’inscrire en tant que spécialiste IA et start up IA. Refus absolu de répondre… Même en 2019 les universitaires ne veulent pas communiquer avec un chercheur privé en IA !
  21. ActuIA (bis), nouvelle info : j’ai fondé fin novembre 2019 un groupe « IA Grand Public » dans Facebook. En deux mois, il frôle la centaine de membres ce qui montre l’intérêt du public pour cette technologie qui, il est vrai, n’est pas claire du tout si on lit les médias. Il se trouve qu’à côté il y a le groupe ActuIA, avec mon commentaire en tête. En substance : « votre IA est fausse ». Ils sont donc venus dans mon groupe me répondre : « Effectivement, ici, pas d’IA sensationnaliste, pas de science fiction, mais les travaux des vrais scientifiques dans le domaine cher Monsieur Lespinay. Nous nous enorgueillissons de ne pas être recommandés par vous. Une recherche Google réjouira les plus curieux. » J’avais donc bien vu au paragraphe précédent : ils me connaissent, ils prétendent vouloir regrouper des start-up IA mais surtout pas du genre de la mienne qui commercialise une intelligence artificielle française qui n’a pas besoin d’informaticiens. Une tromperie informaticienne de plus.
  22. Mathieu Barreau (janvier 2020), journaliste canadien spécialisé en IA et membre du groupe IA que j’ai créé sur Facebook (1 000 membres en quatre mois !), refuse de parler dans ses articles de l’intelligence artificielle française raisonnante !
  23. Olivier Ezratty : ajoutons-le ici alors qu’il n’est pas chercheur en IA mais certainement expert de la question puisqu’il publie sur l’IA à laquelle il a même donné sa propre définition. Je l’ai contacté à deux reprises pour lui faire remarquer qu’il ne parlait que de l’IA informaticienne. Chaque fois, il a refusé d’en discuter avec moi ce qui a provoqué ma colère. Voilà ce qu’il a écrit dans son (très sérieux) rapport sur Les usages de l’intelligence artificielle 2019 : « Tree Logic (1986, France) propose « la maïeutique », une solution de raisonnement automatique crée par Jean Philippe de Lespinay qui se débat depuis plus de trois décennies pour faire adopter ses vues. Le principe de sa solution repose sur l’extraction de connaissances implicites des experts et d’usage d’une logique d’ordre zéro. La solution a l’air d’être un agent conversationnel vocal. Elle aurait été déployée il y a longtemps à la Banque de Bretagne et chez quelques autres clients mais le créateur semble avoir bien du mal à populariser sa technologie et à en financer le développement. La description de la technologie est assez rudimentaire. Il est difficile de se faire une idée précise d’une solution face au syndrome de l’inventeur incompris. »

Pas très plaisant comme présentation !  Voilà ce je lui ai écrit en commentaire dans son blog :

« Je vais être plus explicite en puisant dans la partie de votre rapport “Usages intelligence artificielle 2019” sur Tree Logic :
– “La solution a l’air d’être un agent conversationnel vocal”
– “Elle aurait été déployée il y a longtemps…”
– “le créateur semble avoir bien du mal à populariser sa technologie et à en financer le développement”
– “La description de la technologie est assez rudimentaire”
– “Il est difficile de se faire une idée précise d’une solution face au syndrome de l’inventeur incompris.”

Cette description “sommaire” et peu objective montre surtout une chose, Olivier : vous ne savez pas de quoi vous parlez, vous ne voulez pas savoir mais vous en parlez quand même ! Et avec beaucoup de légèreté.

Deux fois je suis venu vers vous pour vous décrire cette IA grand public qui tourne en entreprise depuis 1986 dans les services utilisateurs et qui a tout de même reçu le prix américain Awards.AI en 2017 dans la catégorie “The Special Award for AI Achievement”. Vous avez chaque fois refusé de m’écouter ou de voir une démonstration de cette IA raisonnante.

Alors, en effet dans ces conditions “difficile de se faire une idée précise d’une telle solution”.

Et si l’inventeur est incompris c’est à l’évidence à cause de gens comme vous qui refusent VOLONTAIREMENT de s’informer pour publier ce qui leur chante. »

23. Jack Copeland s’auto-gratifie du titre de « philosophe » car il est prof de philosophie, et du titre de « philosophe de l’intelligence artificielle » car il a écrit un bouquin sur l’intelligence artificielle. J’ai découvert son existence en 2019 dans un article où une de ses déclarations me fait bondir : « Il n’y a pas d’ordinateur aujourd’hui qui puisse passer le test TURING et il n’y en aura pas dans un futur proche, la tâche est si difficile qu’il faudra beaucoup de temps avant que la technologie existe ». C’est tellement faux ! Je l’informe par mail (10.12.2019) que la technologie existe depuis les années 1980 en France et fonctionne sur les plus petits ordinateurs, que mon IA dialogue avec ses utilisateurs depuis 1986. Il me répond le lendemain (11.12.2019) : « Merci pour votre email intéressant. Vous semblez penser que je me trompe sur quelque chose, mais vous ne dites pas très bien ce que c’est – mais je suis toujours prêt à apprendre et à changer mes vues si nécessaire ». Il ajoute : « Pourquoi ne pas concourir au Loebner Prize 2020 ? » (qui récompensera le premier ordinateur capable de dialoguer avec des humains). Je lui réponds : « J’y pense depuis longtemps ! Le problème est qu’il faut de l’argent pour être assisté par un psychologue et modifier mon générateur d’IA (T.Rex) afin qu’il puisse hésiter ou prendre du temps avant de répondre à certains moments comme le ferait un humain. La spécialité du raisonnement de l’IA est précisément sa capacité naturelle à la conversation. Cette faculté est principalement utilisée dans les entreprises depuis 1987 (Joséphine pouvait parler pendant une demi-heure avec les clients d’une banque). J’ai développé de nombreux dialogues dont celui de la page d’accueil de mon site (cliquez dans la bulle). » Je lui joins un grand nombre de liens pour qu’il se fasse une idée de l’intelligence artificielle raisonnante et lui demande s’il peut m’aider à concourir au prix Loebner. Et là, nous avons la réaction habituelle des faux jetons : PAS DE RÉPONSE ! Je le relance deux fois, je le provoque… silence. Il a compris qu’il existe une IA qui tue son job et ses copains informaticiens. Alors le « philosophe » fait un bras d’honneur à l’humanité.

On ne pourra pas dire que je ne me suis pas battu pour faire connaître l’intelligence artificielle française !

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